Géobiologie : répertoire des principaux phénomènes

Note importante 

J’ai choisi une classification binaire pour simplifier l’évaluation globale des phénomènes décrits ci après sachant que leur échelle vibratoire est très étendue, et que le curseur pourra varier en fonction de chaque situation particulière. Par ailleurs, ces phénomènes peuvent être modifiés. La précision en l’état* signifie donc hors intervention humaine pour les trois catégories : phénomènes naturels, cosmotelluriques, ou mis en place par « magie » opérative.

Phénomènes naturels souterrains : Failles, courants d’eau, réseaux telluriques, courants telluriques

Les failles et les courants d’eau sont des phénomènes négatifs très répandus et délicats à corriger qui peuvent impacter durablement l’habitat et donc les résidents, c’est la raison pour laquelle je les ai placés en tête de liste. 

Sont toujours négatifs en l’état*: 

1 Failles. Leurs formes, profondeurs et dimensions sont diverses ; elles peuvent s’apparenter à des fractures rocheuses, à des cavités, à des effondrements….Il faut distinguer les failles sèches des failles dans lesquelles l’eau circule, ce qui renforce l’effet négatif de la perturbation. Elles sont généralement perçues par un effet de vide intérieur, et d’aspiration vers le bas. La perturbation est ressentie en deça et au delà, avec un maximum d’effet au centre du phénomène. 

2 Eau souterraine. Stagnante ou courante, plus ou moins polluée, elle peut affleurer la surface du sol ou circuler plus en profondeur, avec un débit variable selon les saisons. Eau de ruissellement, nappe, veine ou rivière souterraine, le ressenti du corps est souvent lourd dans les jambes, et désagréable au niveau du plexus solaire, avec une sensation de noeud ou de nausée. La perturbation est ressentie en deça et au delà, avec un maximum d’effet au centre du phénomène. 

Sont tantôt positifs, tantôt négatifs, en l’état*:  

3 Réseaux telluriques. Il s’agit de réseaux croisés qui quadrillent toute la Terre, perpendiculairement ou diagonalement par rapport à l’axe des pôles, avec des lignes de maillage de taille différente selon leur qualification. 
Ces réseaux sont une rémanence magnétique vibratoire aux métaux souterrains, en particulier avec le noyau central ferro – nickel du coeur de notre planète. Ils ont été « redécouverts » au siècle dernier. Le réseau nickel, le plus connu, est appelé réseau Hartmann, car il porte le nom du médecin hospitalier allemand qui émit l’hypothèse que l’information nickel en question était à l’origine des problèmes de santé plus ou moins perturbants de ses patients selon que leurs lits se trouvaient ou pas sur un croisement négatif, appelé communément depuis noeud Hartmann. Les lignes des réseaux sont alternativement polarisées, d’intensités diverses et d’effets différents sur l’humain selon la nature du métal qui les informent. Elles n’interagissent donc pas de façon similaire avec le milieu vivant, animaux et végétaux y sont aussi sensibles que nous. Par les dimensions de sa grille d’environ 2,50m sur 2m, le réseau qui nous concerne le plus au quotidien est le réseau Hartmann (nickel) ; les réseaux Curry (fer), Palm (cuivre) et Peyré (or) ont aussi été très utilisés du néolithique jusqu’au moyen âge. Les effets sont ressentis directement sur les lignes. L’impact des réseaux sur l’humain est généralement bien moindre que celui des failles et des courants d’eau, et il est plus aisé d’intervenir pour en neutraliser les effets perturbants éventuels. Il y a une certaine littérature qui a colporté l’idée que le réseau Hartmann est systématiquement négatif, en parlant du nœud Hartmann comme d’un point géopathogène ; cette idée est fantaisiste, c’est déjà ignorer l’alternance de lignes positives yang et négatives yin car les réseaux sont polarisés.

Sont toujours positifs, en l’état*: 

4 Courants telluriques. Autrement appelé vouivre ou serpent chez nous, tigre ou dragon en Chine, il s’agit là d’un phénomène étonnant qui fut diabolisé par l’Eglise chrétienne au Moyen-âge. Ces courants de terre qui souvent arrivent en surface au regard d’une faille en affleurement ou d’une cavité ouverte, émettent un flux éthérique subtil plus ou moins large qui serpente ici et là avant de plonger à nouveau sous terre. 
Comme ils sont typiques des grottes, ils ont été christianisés et symbolisés par une représentation de la Vierge qui souvent foule un serpent, avec le globe terrestre sous les pieds. Ce serpent, qu’on a voulu assimiler au diable, est pourtant hautement bénéfique pour l’Homme, puisqu’il est guérisseur! Les courants telluriques permettent des pratiques favorisant à la fois l’ancrage et la circulation harmonieuse de l’énergie vitale (chigong). A l’inverse du courant électrique en haut, image de la lumière solaire, le courant tellurique en bas nous apporte l’énergie de la terre intérieure, autrement dit la force du courant de vie, rien que cela! Pas étonnant qu’on ait voulu à une époque soustraire cette merveille du commun des mortels, car son pouvoir peut être quasi miraculeux. 

Phénomènes cosmotelluriques : les Intelligences de la terre

Sont toujours positifs, en l’état* : 

1 Vortex. Les vortex sont de nature cosmotellurique. Compte tenu de leur taille qui peut aller de quelques dizaines de mètres à plusieurs kilomètres, ils sont plutôt sédentaires. Ils s’enroulent sur des spires qui sont généralement au nombre de trois, parfois sept, exceptionnellement douze. Ils oeuvrent dans les phases d’équilibrage énergétique de la Terre dans la biosphère. L’alchimie engendrée par les vortex est d’une haute qualité; preuve en est, leur présence est quasi systématique, du néolithique au moyen-âge, sur les sites sacrés afin d’en élever la qualité vibratoire. 
Parmi leurs caractéristiques intéressantes, comme les tubes magiques – voir plus loin -, notons qu’ils modifient l’acoustique des lieux, signal de l’élévation de la fréquence; mais ils ne s’activent qu’avec l’accord de leur gardien ; passer du monde ordinaire à l’espace sacré est tout sauf une formalité, c’est une initiation. Un stationnement prolongé sur leur emplacement rééquilibre les méridiens, affine les sens subtils, et surtout met en contact avec d’autres plans. 

Sont tantôt positifs, tantôt négatifs, en l’état* :  

2 Cheminées cosmotelluriques. Les cheminées sont cousines des vortex ; bien plus nombreuses, elles ressemblent à des soucoupes circulaires. Il y a bien un « air de famille » ne serait-ce que par leur fonction, qui est également de s’occuper des échanges de la Terre avec la biosphère et la noosphère, ce terme élevé à une grille de conscience globale du vivant autour de la terre : elles sont à mon sens, la respiration même de la terre dans son ciel. 
Qui s’est déjà relié à une cheminée pour respirer avec elle sait de quoi il s’agit. Expérience qui peut à minima donner à réfléchir sur l’intelligence à l’oeuvre dans notre univers. A la différence des vortex, les cheminées se déplacent volontiers, et très vite; leurs fréquences vibratoires, fort diverses, peuvent nous poser quelques problèmes.  

3 Elémentaux et autres présences. Ce sont pour la plupart les gardiens des règnes de la Nature et de sites particuliers. C’est un univers fait de rencontres agréables, délicates ou éprouvantes. Ils peuvent devenir des guides précieux. 
Comme le faisaient nos ancêtres, il est tout à fait possible d’entrer en contact avec les vortex, les cheminées et autres élémentaux, à condition d’en accepter l’idée, et de trouver des codes qui s’appliquent à un langage non convenu (!), qui traverse les plans vibratoires. Si je les qualifie d’intelligences, c’est qu’elles ont une forme de conscience et qu’à ce titre il est fondamental de les respecter, en leur qualité de serviteurs de la Terre, faute de quoi, des effets indésirables pourraient se produire.
Clin d’oeil : sachez que si votre parcours vous amène à un moment ou un autre à expérimenter ces dimensions, ne vous en ouvrez pas à quiconque, car il vous faudra peut-être faire avec les railleries ou les moqueries de votre entourage dans notre société si pragmatique et évoluée, où un certain bon sens voudrait faire croire que l’on sait tout ou presque depuis cette lointaine époque de sauvages. Fort heureusement, plus on apprend, plus l’horizon des certitudes recule… 

Sont toujours négatifs en l’état*:

4 Entités. Une précision utile : j’appelle entités des présences énergétiques fort diverses qui sont le fruit de nos déviances, peurs et autres dettes que nous amenons avec nous à la naissance, ou que nous attirons, alimentons ou fabriquons dans cette vie. C’est un autre domaine passionnant qui intéresse la géobiologie, mais comme il ne relève pas du tellurisme proprement dit, je ne les prends pas en compte sur cette page. 

Phénomènes mis en place par « magie » opérative humaine : tubes, ley lines, carré magique, démultiplication des réseaux, barrière magique

Par magie opérative, j’entends la possibilité d’agir dans les plans plus subtils, à commencer par le plan éthérique, voisin du plan physique. Cette initiation se transmettait depuis la nuit des Temps par les druides, et les chamanes. Elle a perduré au moyen âge jusque chez les moines alchimistes. Il ne faudrait surtout pas oublier que l’Église détenait ce savoir qu’elle a hélas occulté, puis condamné, et qui depuis s’est perdu. 

Sont toujours positifs en l’état* : 

1 Tubes. Les druides et les chamanes ont dans l’éthérique, créé des flux énergétiques qui sont des « copiés collés » de phénomènes naturels assez rarement observables, mais puissants dans la nature, les tubes verticaux, qui sortent de terre et semblent relier des plans différents. Compte tenu des effets induits et sans que l’on connaisse forcément leur présence, ces tubes naturels, dont le diamètre dépasse rarement 0,50m, dynamisent un lieu qui de facto est un haut lieu où il peut se passer des choses bizarres. Les ayant expérimentés d’une façon ou d’une autre, il est probable que les druides ont par imitation installé des tubes éthériques « artificiels » sur leurs lieux de cérémonie, les reliant par exemple aux pics des montagnes pour en recevoir l’énergie cosmique. Pour celles que je connais, certaines pierres de ces sites sont si énergétiques qu’elles pouvaient à mon sens être des pierres de médecine ou quelque chose d’apparenté. Plus tard, on retrouvera les tubes installés quasi « à l’horizontale » dans les choeurs des chapelles, reliés à l’église mère, un schéma similaire se reproduisant pour les abbayes avec leur abbaye mère ; une véritable organisation en réseau avec des tubes éthériques pour communiquer ! Comment s’y prenaient-ils pour cela, c’est une bonne question. De surcroît, comme un tube s’ouvre et se ferme, son effet acoustique est tellement remarquable que si l’on parle ou chante à l’intérieur, il faudrait être sourd ou de mauvaise foi pour ne pas s’en rendre compte. 

2 Ley lines. On a affaire ici à un phénomène encore plus étonnant que celui des tubes, et bien dérangeant pour la pensée actuelle. Les lignes de Ley ont été « retrouvées » par un anglais nommé Watkins, au début siècle dernier. On les nomme aussi flux sacrés, il ne faut pas les confondre avec les tubes ; ce sont des routes éthériques à large flux (environ 7 mètres) qui relient entre eux des sites importants sur de grandes distances. L’objectif était sans aucun doute de relayer une information énergétique sur toute la planète ; compte tenu de la « technologie » employée, ce ne peut être qu’un procédé issu d’une civilisation très avancée, qui pourrait dater d’avant l’époque protohistorique. Ces routes éthériques peuvent se croiser sans souci comme sur notre réseau routier; si elles sont d’origine humaine, il est vraisemblable que la technique utilisée pour les tracer était le voyage astral. Les Lignes de Ley s’activent et leur énergie s’apparente quelque peu avec celle des courants telluriques.

3 Carrés magiques. On les trouve surtout face à l’entrée des églises romanes ; construits à partir d’une trame spécifique du réseau Hartmann, ce sont des cubes en trois dimensions qui ont donc neuf cases porteuses chacune d’une couleur éthérique ; ils ont une fonction préparatoire de nettoyage énergétique avant l’entrée des fidèles dans l’église. 

Sont tantôt positifs, tantôt négatifs en l’état*:  

4 Démultiplication des réseaux. Cette opération s’effectue dans l’éthérique essentiellement sur le réseau Hartmann, auxquel l’Homme est le plus réceptif, à cause de son maillage serré. Un nombre conséquent de lignes positives démultipliées permettait d’obtenir différents effets assez extraordinaires pour valoriser un espace sacré en particulier, aux plans énergétique et acoustique. 
A l’inverse, pour se protéger de l’ennemi aux portes des oppidums ou des châteaux, c’est une démultiplication importante de lignes négatives qui était déployée ; du coup les intrus ressentaient une espèce de frein invisible sur leur passage ; l’explication est que le corps éthérique se rétracte, ralentissant alors quelque peu physiquement l’envahisseur.  
Enfin on employait systématiquement l’art complexe du procédé de démultiplication pour préserver l’espace funéraire entourant les dolmens, autant que pour renforcer l’ossature invisible des constructions sacrées comme les temples ou les chapelles romanes par exemple. 

Sont toujours négatifs en l’état* :

5 Barrières magiques. Phénomène troublant, les barrières magiques. Comme leur nom l’indique, elles sont fortement négatives, et ne sont pas installées à partir du réseau, mais le surplombent si je puis dire, car elles sont chargées d’intentions qui s’étendent aux plans astral et surtout mental. Il s’agit ni plus ni moins de la traduction d’une pensée matérialisée qui agit par l’énergie dégagée ! Défense d’entrer, barrière magique! 

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