Bruno Verdier : mon parcours…
20 mai 2019Chef de chœur et d’orchestre, Astrologue & Géobiologue
L’essentiel se vit à l’intérieur. Lorsque j’ai une vingtaine d’années, un événement vécu dans l’éclair d’une expérience bouleversante fut le déclic. Un état de grâce et un bonheur inconnus habitent mon âme alors visitée, temps hors du temps pendant lequel l’information descend pour enchaîner les synchronicités. Depuis cette époque lointaine, j’ai la conviction que la réalité est voilée et que le monde dans lequel nous vivons est une illusion du réel (maya).
Lors d’une visite chez mon professeur d’harmonie et d’écriture musicale, je suis attiré par une imposante série de livres aux couvertures colorées sur un rayonnage de sa bibliothèque. L’auteur s’appelle Hadès. Derrière le nom de ce dieu de la mythologie qui signifie invisible, se révèle l’œuvre d’un des plus éminents astrologues qui soient. En autodidacte, j’étudie l’Astrologie dix ans durant, comme si je retrouvais mon univers, et l’enseigne ensuite pendant autant d’années, lors des vacances d’été. A la même époque, la vie m’amène à devenir un voisin du yogi, géobiologue et écrivain Jacques la Maya, auteur du premier livre référence sur la géobiologie, « la Médecine de l’habitat ». Il me fait partager son expérience du chi ou prana, principe vital que l’Occident matérialiste a complètement laissé de côté. Depuis, j’ai complété ma formation auprès de Stéphane Cardinaux en Suisse, pionnier des recherches en bioénergétique associées à la création de machines quantiques, permettant d’établir un lien entre Science et Tradition.
Mais c’est la musique qui est mon métier, comme on dit. Rencontres et parcours avec maîtres et professeurs dont je retiens l’enthousiasme, la générosité…et surtout l’humilité. Diplômé du Conservatoire Supérieur de Musique de Paris, j’ai dirigé des conservatoires, des chœurs et des orchestres, formé des chanteurs, enseigné la musique de chambre. Avec la voix, les chemins moins fréquentés du yoga du son et du chant grégorien me ramènent aux sources. Puis devenu géobiologue, je m’intéresse en particulier à l’immense période allant du néolithique au moyen-âge, admiratif d’un savoir druidique oublié aujourd’hui, dont la signature est inscrite dans la mémoire des pierres – cromlechs, menhirs et autres dolmens jusqu’aux chapelles romanes.
Si j’étais musicien pour exprimer la beauté et l’harmonie, je devais maîtriser l’astrologie pour comprendre les liens entre l’univers et la destinée, et devenir géobiologue pour vivre en gratitude, du visible à l’invisible, une relation respectueuse avec la nature et le sacré.
J’ai conduit depuis 20 ans en France et à l’étranger nombre de stages et formations qui sont à la croisée du son, de l’énergétique et du tellurisme : yoga du son et yoga mudras, chant grégorien, bioénergie, géobiologie et hauts lieux (Alpes du sud, Bourgogne, Bretagne, Massif Central, Occitanie, Rhône Alpes, Pyrénées, Sardaigne, Suisse…)
Ils se déroulent sur des sites choisis pour leur beauté paysagère et leur intérêt vibratoire : St Guilhem le Désert, St Michel de Grandmont, cirque de Navacelles, châteaux cathares, grandes abbayes romanes autour du pic du Canigou, Rennes les Bains et Rennes le Château, Mont Bugarach, colline de Vézelay, Auxerre, Rocamadour, Conques, abbayes de Citeaux, Ganagobie, Valsaintes, gorges du Verdon, gorges de Galamus, sites mégalithiques et alignements de Carnac, forêt de Brocéliande, sites mégalithiques de Sardaigne, volcans du Massif Central, pour en citer quelques uns…
Dans un esprit convivial, la bonne humeur et la simplicité, je veille à ce que l’attitude de chacun facilite son ancrage, prélude à porter l’attention vers l’écoute intérieure et faculté à être présent à soi par le ressenti. Un certain art de vivre qui se construit, porté par un idéal et un effort constants mais libres de leur objet qui peuvent permettre, si l’heure est venue, d’être inspiré par la Grâce :
Maître Eckhart
« Quand l’âme est dégagée du temps et de l’espace, le Père envoie son Fils en elle.