STAGE Chant vibratoire et Fréquence de Résonance


Secteur d’Auxerre (Bourgogne)
Lundi 18 au Jeudi 21 juillet

Ce stage est complet. Si vous êtes intéressé(e) pour participer à un stage, vous pouvez m’écrire à partir du formulaire de contact du site ou à contact@brunoverdier.com
Les stages peuvent être amenés à se dérouler dans différentes régions de France ou dans les pays francophones.



Présentation générale


Il va s’agir d’acccorder nos voix à la fréquence de résonance de l’église, autrement dit d’entrer en connexion avec le temple sacré qui nous accueille. Cela change beaucoup de choses, c’est un lâcher prise par l’écoute qui peut être un chemin d’éveil et un profond révélateur pour nous même, un champ d’information qui ouvre de nouvelles perceptions vers une mutation intérieure, le chant (champ d’information) devient alors voix(e) de guérison. Le son guérit !
En effet les églises sont des lieux « informés », dont l’implantation sur les réseaux géomagnétiques, la structure géométrique, les qualités de résonance et bien d’autres choses encore ne doivent rien au hasard, tout comme d’autres édifices à travers le monde qui ont été construits à partir d’une tradition demeurée secrète qui s’est perpétuée depuis la nuit des Temps. Leur fonction est clairement de permettre à l’Homme d’établir un pont vibratoire afin de réaliser un lien transcendant entre terre et cosmos. Quelque part, chacun de nous est l’église, miroir de son corps : elle est par nature un lieu d’initiation. Aujourd’hui, les lieux sacrés sont tombés dans l’oubli de leur véritable fonction. Notre époque si particulière nous offre l’occasion d’en retrouver les principes agissants, qui sont de véritables points d’acupuncture sur notre planète bleue…

Voyage avec les sons, voyage avec soi : une initiation collective et individuelle


La magie des sons peut nous entraîner dans un univers toujours renouvelé, étrange parce qu’inhabituel, à condition de se laisser porter par leurs vibrations vers la plus belle et pourtant la moins connue des destinations : soi même !
Il s’agit ici de « se » laisser chanter en accord avec le lieu dans lequel on se trouve, c’est à dire de s’accorder avec la fréquence de résonance de la chapelle ou de l’église.
Le processus simplifié est le suivant :
– à partir des diapasons naturels de Pythagore, rechercher sur quelle hauteur de son le corps éthérique* se dilate le plus.
– cette hauteur de son correspond à une fréquence-note (parfois deux) qui entre en résonance avec le lieu. Cela se perçoit aussi à l’écoute, en tendant l’oreille !
-si l’on improvise un chant, cette note est le support sonore à partir duquel nous allons travailler, afin de le retrouver dans un enchaînement modal, un type d’accord, ou encore sur une, voire plusieurs de ses harmoniques, à partir d’une teneur par exemple.
-si l’on suit une partition écrite, il est nécessaire de l’adapter en rapport avec cette fréquence-note (ou sur une ou plusieurs de ses harmoniques) en position dominante comme teneur, à partir de quoi les notes écrites de la partition n’ont aucune importance en tant que telles, puisqu’elles sont transposées.
-l’ambiance et l’aisance vocale, la résonance nouvelle du lieu, la transformation de la voix comme de l’écoute, la présence à soi dans la beauté de la vibration ressentie jusque dans le corps à partir du coeur sont les meilleurs témoins d’une mutation qui se « fait en se faisant ». Il n’y a pas ni plus de performance à rechercher, l’objectif est juste de vivre l’instant dans l’immersion rédemptrice de l’écoute.



*Le corps éthérique (énergétique), plan de référence pour les perceptions subtiles et passerelle avec les autres plans.


Nous ne sommes pas qu’un corps physique, ou plutôt notre corps physique est le réceptacle d’une fréquence devenue visible qui s’est matérialisée ; tout comme les sept fréquences couleurs de l’arc en ciel, nous avons sept corps qui s’emboîtent les uns dans les autres. Toutes les traditions anciennes savaient cela ; afin d’être un être complet, il nous appartient de les découvrir, les apprivoiser, les purifier, les harmoniser. L’éther, dans l’Inde védique, la plus vieille tradition qui nous soit connue, correspond à l’Akasha. Il est régulièrement évoqué comme « espace » car il est l’essence du vide et du néant. En effet, à la naissance de l’univers, quand la conscience s’est manifestée, le son primaire Aum ou Om a résonné. De cette vibration est apparue l’éther. Lorsque l’éther s’est mis en mouvement, il a contribué à la création de tous les éléments : l’air, le feu, l’eau et enfin la terre. Curieusement, il est perçu via l’ouïe, sous forme de son. Les cordes vocales sont le lieu de sa mise en action, par le chant et la parole. Dans la tradition biblique, le Prologue de l’Evangile de Jean commence d’ailleurs par une bien curieuse phrase : au commencement était le Verbe.
Nous pouvons tout à fait « capter » le corps éthérique qui enveloppe le corps physique en affinant nos perceptions ordinaires, en ne passant pas par le mental contrôleur ; il est un informateur incomparable à partir duquel notre vision du monde peut être totalement renouvelée…
« L’Akasha est une matrice cosmique. Les archives akashiques constituent le registre permanent de tout ce qui se produit ou ne s’est jamais produit dans l’univers entier. Le champ akashique est la mémoire holographique de l’univers.» Extraits du livre d’Erwin Laszlo, « Science (quantique) et champ Akashique ». Philosophe des sciences, fondateur et président du groupe d’experts international de Budapest, et du groupe de recherche sur l’évolution générale. Auteur de 75 livres traduits en 20 langues.



Les fréquences naturelles de la gamme de Pythagore en correspondance avec l’ouverture du chakra du coeur


J’ai choisi les diapasons de Pythagore pour rechercher la fréquence de résonance. Si nous avons tous appris à l’école le théorème de Pythagore relatif au calcul des longueurs des côtés d’un triangle rectangle, nous savons moins que cet éminent personnage de la Grèce antique nous a donné les bases de construction de notre gamme naturelle, basée sur le cycle des quintes, dont les fréquences des notes étaient établies sur des nombres entiers, à la différence du système officiel en cours dans le monde contemporain.
Je n’entre pas ici dans le détail d’explications que vous allez pouvoir vérifier au cours du stage. Chercheur en bioénergie, j’ai expérimenté la pertinence de ces fréquences qui agissent directement sur l’ouverture du chakra du coeur, ce qui n’est pas le cas en particulier du diapason officiel qui a été imposé aux sociétés « développées » comme la nôtre (et non aux peuples encore autochtones). Ceci a une grande incidence sur notre manière d’entrer en relation avec l’univers sonore. Chose étonnante, Platon, cinq siècles avant notre ère, le savait déjà puisqu’il a écrit dans son ouvrage La République : «Si tu veux contrôler le peuple, commence par contrôler sa musique. »



Mise en voix avec le yoga du son


En amont, une fois n’est pas coutume, la mise en voix et la technique vocale seront établies sur les bases du yoga du son. Un travail précis sera proposé, afin d’obtenir ensemble un timbre et une résonance de qualité, faire des sons corrects avec les supports sonores de la voix que sont les bols chantants, savoir comment s’y prendre pour produire des harmoniques. Le chant harmonique est encore pratiqué dans l’Asie centrale, au Tibet ou en Inde, là où perdure le substrat originel des civilisations traditionnelles.
Au plan collectif, le simple fait de chanter ensemble génère des harmoniques qu’il est particulièrement intéressant d’entendre afin de progresser dans l’écoute et la justesse. A titre individuel, un objectif est de produire des sons diphoniques, ce qui consiste à dédoubler un son de base en lui faisant simultanément entendre une fréquence harmonique qui lui est associée. Cette approche peut enrichir la pratique de toute autre forme de chant, et la capacité à construire ensemble un moment musical de qualité. La beauté des voyages sonores et l’état modifié de conscience qu’ils induisent sont porteurs d’un sens et d’un message profonds qui s’adresse à l’Etre caché derrière la personne.
Conjointement, un travail sur l’ancrage, la respiration, la pose de voix sera conduit.



Programme


Quelques courtes pièces à 2, 3 ou 4 (et +) voix écrites par Bruno Verdier à partir de mélodies grégoriennes très simples. Pièce chamanique et improvisation (transcription Françoise Pot).

Présentation Bruno Verdier
Bioénergie, résonance, pierres et églises


Lieu : église de Hauterive, à 15km d’Auxerre, Yonne.
Dates : du lundi 18 au jeudi 21 juillet.
Horaires : chaque après midi de 14h à 19h. Pique nique partagé le jeudi soir jusqu’à 21h.
Tarif : 190€. Acompte pour confirmation d’inscription 90€.
Matériel : pupitre indispensable. Bol chantant bienvenu. Apporter de l’eau !
Participant(e)s : ensembles vocaux dirigés par Françoise Pot. Effectif complet.
Le stage se déroule en externat. Rendez vous à 13h45 chaque jour dans le lieu fixé.